S’immerger dans l’état de flow avec Élodie Lauret
S’immerger dans l’état de flow avec Élodie Lauret

S’immerger dans l’état de flow avec Élodie Lauret

Ce dimanche, c’était la rentrée. Enfin, la vraie, la bonne. L’année 2021 a vraiment commencé dimanche, avec le premier des ateliers en ligne des Patreon d’Élodie.

Ateliers d’écriture en ligne et nomade

L’an passé, j’avais suivi les ateliers en différé, avec la version PDF. C’était déjà un excellent début. Pour chaque atelier, on a d’abord une partie « théorique », avec l’introduction et l’explication du thème de l’atelier, et une partie « pratique », le plus souvent avec trois exercices ou pistes pour mettre en application le thème.

Pour avoir suivi différents ateliers à l’époque, je peux vous dire que ceux d’Élodie sont d’excellente qualité, à la fois pédagogiques et agréables à suivre. C’est un vrai plus pour progresser dans l’écriture. Élodie est très pédagogue et a une grande culture littéraire. Elle explique les méthodes, les concepts à travailler. Les propositions d’écriture sont simples mais très puissantes. On peut les utiliser telles quelles comme simples exercices ou les incorporer à son projet.

Cette année, j’ai décidé de participer aussi aux ateliers en live. J’étais curieuse de découvrir la dynamique du petit groupe sur Zoom. J’ai passé un excellent moment. C’était très intéressant et éclairant d’échanger entre participants, dans une ambiance ouverte et sans jugement. C’est aussi toujours marrant de voir comme chacun est différent, a son propre fonctionnement. Vraiment, c’était un beau moment de partage que j’ai beaucoup apprécié.

Comme premier thème pour lancer l’année et la progression de son programme, Élodie a choisi de nous faire réfléchir et travailler sur la notion de flow.

L’état de flow

Qu’est-ce que le flow, comment, pourquoi… J’ai encore une fois appris plein de choses.

J’avoue que je ne m’étais pas posée toutes ces questions. Or, il se trouve que l’an passé (merci le confinement) j’avais, sans m’en rendre compte, mis tout de mon côté pour créer les conditions idéales d’écriture. Ce n’est donc pas pour rien si j’ai réussi en trois mois, là où j’avais toujours échoué depuis 20 ans. On apprend de ses erreurs, certes. Mais avec le bon mental, c’est forcément imparable.

Je sais donc ce qu’il me reste à faire pour retrouver ces belles séances d’écriture de l’an passé.

Deuxième effet kiscool

Ce qui est magique avec les ateliers, c’est qu’on dépasse bien souvent son objectif.

Ainsi, j’avais dans l’idée de commencer à réfléchir en parallèle de la réécriture du Passant à mon prochain projet, une histoire que j’ai avec moi depuis une bonne quinzaine d’année. Ce projet se prêtait mieux à certaines propositions d’Élodie. J’ai donc déjà lancé la machine et je pourrai l’approvisionner de temps à autre quand les idées me viennent.

D’autre part, je me suis dit que je pourrais mettre à profit certains créneaux fin de journée en semaine pour écrire et bloguer, en plus de mes deux créneaux des week-ends.

Une bordure décorative - état de flow atelier écriture Elodie Lauret

Quand je vous dis que c’est hyper motivant, les ateliers d’écriture ^^. Je suis même en train de rédiger ce billet ce soir, alors que je ne pensais le faire que tranquillement mardi !

Avec les journées qui rallongent, j’ai envie de passer plus de temps après le travail à m’occuper de mes projets, et pas juste en y pensant de loin.

Je compte ainsi passer à la prochaine phase de ma réécriture la semaine prochaine. Et continuer à vous raconter ici la suite de mes aventures au pays des plumes.

Photo by Nicolas HIPPERT on Unsplash

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