Et aujourd’hui commence donc la semaine de la papeterie, National Stationery Week D1, avec comme premier thème le crayon.
Jour 1 : Journée du crayon.
Non, je ne vous chanterai pas la chanson de Bourvil pour fêter l’évènement.
Je vais seulement partager quelques photos de mes crayons.
Même si au quotidien j’utilise principalement un porte-mine, j’ai plusieurs crayons sous la main. Je ne suis pas de ceux qui écrivent beaucoup avec un crayon. C’est assez rare. Je le fais parfois dans un brainstorming, pour faire des bulles et des nuages de mots sans avoir aucune contrainte.
Ca fait déjà un petit panel finalement.
Faut-il s’en étonner ? C’est tout de même le premier instrument d’écriture avec lequel nous avons tous appris à écrire. On commence tous avec le crayon graphite moyen HB entre nos petits doigts malhabiles.
Plus tard, j’ai utilisé des crayons plus durs et secs pour du dessin de précision ou plus doux et gras pour le dessin.
Avec des marques connues, et auxquels on ne fais plus attention, comme ici avec les Lumograph de Steadtler – tiens mon architecte de père les utilisait aussi.
Ou une marque oubliée (Rollo, Danemark) à l’étui vintage et informatif.
J’adore le tableau des duretés (et l’estampille en relief sur le carton intérieur. Il reste un dernier 3H pour témoigner.
Et enfin j’ai aussi deux boites Conté (inventeur au XVII° siècle du futur crayon graphite) et Derwent de crayons d’esquisses pour mettre leurs touches dans ce panel d’instruments graphiques.
Le crayon a l’air si simple, mais il est faussement facile. Il faut un vrai talent pour en tirer des merveilles. Il n’a pas volé l’honneur d’inaugurer cette semaine so british de la papeterie.