
Dimanche 26 juillet 2020
Des hauts et des bas, voilà pour résumer ce récap de la semaine 30. Un peu comme la semaine passée, en somme. J’ai progressé dans le premier jet mais avec de gros coups d’interrogation et de calage, plus ou moins surmontés.
Compteur : 47 722
Qui dit coup de mou, dit manque d’inspiration et procrastination. Et trois jours vraiment au ras des pâquerettes. J’ai pu compenser sur les autres jours et au final, j’ai tenu. Ouf. C’est le métier qui rentre. J’ai ainsi écrit un bon chapitre ce dimanche. Les 50 000 ne sont plus très loin.
Le nombre de mots n’était qu’un des objectifs du mois de juillet. Le plus important est d’écrire le premier jet. Le compteur n’est là que pour me motiver et quantifier la progression.
Il me reste encore une semaine pour cela. Je suis un peu en retard et il me reste encore pas mal de choses à raconter. Je n’ai atteint que la moitié de l’acte 2. J’ai donc intérêt à me jeter à fond dans l’histoire.
Écriture en rodage
D’ailleurs, il n’y a pas de secret. Je commence à connaître le mécanisme. Quand je bloque, j’ai deux choses à tenter : Soit écrire directement, en sautant la phrase ou la scène qui coince. Soit revenir au papier pour mettre les éléments à plat ou brainstormer pour trouver la pièce de puzzle manquante.
C’est ce que j’ai fait tout à l’heure. Je n’avais pas une vision précise de ce que je devais raconter et je tournais donc autour du pot.
Vendredi, après deux jours à petites vitesses, j’ai retrouvé un meilleur rythme. Je dois faire avancer l’histoire. J’ai eu tendance à trop délayer la sauce, en me perdant les motivations, les tenants et aboutissants, blabla. J’ai recommencé à bien avancer quand je me suis décidée à attaquer l’action. Logique.
Tout le contexte, moi, je les connais. Il fallait que j’intègre que, pour le lecteur, il n’y a que l’histoire qui compte. Après avoir passé pas mal de temps sur la préparation, j’ai eu tendance à rester calée là dessus. Préparer est une chose. Raconter une autre.
Enfin, j’y suis arrivée. J’aurai deux chapitres à réécrire très sérieusement à l’étape suivante. Quand on vous dit que ce n’est pas toujours facile, l’écriture !
Heureusement, les rendez-vous du discord du patreon d’Élodie m’a aidé à rester sur mon objectif.
Réveil matinal
J’ai anticipé mes futurs horaires de « navetteuse » (comme on dit ici). Et enrichit ma routine, après avoir vu les messages hyper motivants et bienveillants de Xavier Clain et d’Ingrid Grass for Pillow.
Je me levais déjà assez tôt, mais j’ai encore optimisé mon matin en planifiant les tranches. Je faisais déjà 15 minutes de pilates avant de petit-déjeuner (en lisant mes mails et les réseaux. Comme ça c’est fait et c’est un moment détente) et aller écrire. J’ai rajouté un temps pour méditer, « journaler », bref faire un peu de développement perso. Si ce sujet vous intéresse, Ingrid (l’autre ^^) vient de partager un petit guide pour faire un miracle morning simplement.
Par contre, je dois absolument laisser l’écriture en début de matinée. C’est vraiment là où je suis le plus tranquille et « focus ».
Une demi heure avant le dîner, je prépare ma journée demain. Et surtout, je termine mon travail du jour, et j’éteins le PC ! Ainsi, le soir après dîner, je regarde juste un peu une vidéo (courte) ou quelques posts et puis, c’est déconnexion et extinction des feux. Et ça fait du bien !

J’ai l’impression de me répéter, mais c’était à nouveau une semaine pleine d’enseignement.
Il faut aussi que je reste dans le mood du début du projet, c’est à dire garder le plaisir d’écrire. Je suis la première à découvrir cette histoire dans tous ses développements. Ce qui va bien au delà d’un plan et des intrigues secondaires et recèle quelques surprises assez sympas.
Photo mise en avant : Bukohri Eso on Unsplash